Quelles sont vos sensations sur terre battue depuis votre arrivée à Buenos Aires ?
J.-W.-T: Je me sens plutôt bien depuis ma première séance ici. Physiquement, je me sens bien. Je tape bien dans la balle.
En raison des intempéries, vous avez dû vous entraîner ce matin dans un club situé… sous l’autoroute. Comment cela s’est-il passé ?
J.-W.-T: C’est malin… car cela permet de dépenser un peu moins d’argent pour couvrir des courts. Pour faire un court couvert, c’est plutôt une bonne idée. En revanche, ce n’était pas évident de respirer, car il y avait pas mal de pollution juste au-dessous ! Mais c’était sympa et original. Quand on voit les inondations, ici en Argentine, cela permet de relativiser nos petits problèmes.
Est-ce la première fois que vous venez en Argentine ?
J.-W.-T: Oui, c’est la toute première fois. Je suis bien content d’être là. J’espère qu’on aura le temps d’en voir un petit peu plus. Et surtout, j’espère que l’on va gagner.
Qu’est-ce que vous redoutez tout particulièrement dans cette équipe argentine ?
J.-W.-T: Ils jouent bien. Ils jouent même très bien. On redoute aussi le public et l’ambiance qu’il va y avoir dans le stade. En face, il y a des joueurs de qualité. Le public va les supporter et les pousser. Il n’hésitera pas à nous perturber également un petit peu.
On sait que l’ambiance va être chaude. Comment se prépare-t-on à jouer dans un tel contexte ?
J.-W.-T: Il n’y pas de recette particulière. Le plus important est d’imaginer ce qui peut se passer pour ne pas être surpris sur le moment, et pouvoir justement avoir une réponse à chaque problème qui va se poser.
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