On se retrouve en automne. Mettons cela sur le compte du dérèglement climatique et, en gens de bien et de subtilité, n’en parlons plus, sauf peut-être pour dire, qu’après tout, la saison est propice à l’envolée des feuilles. Les feuilles, j’en ai trouvé dernièrement sur la tombe de l’écrivain argentin Jorge Luis Borges à Genève. Une visite en hommage au grand homme, érudit supersonique qui, dans les années quarante, fut écarté de son métier de bibliothécaire pour
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