Sous les Kirchner, les droits humains sont devenus une politique d …

De notre envoyée spéciale à Buenos Aires.- Il s'appelle Sabino Abdala, mais jusqu'à ses dix-sept ans, il répondait au nom de Federico Gabriel Wojtowicz. Dans un sourire, il précise qu'on peut aussi l'identifier comme le numéro 48. C'est le 48e petit-fils récupéré par les « Abuelas de la plaza de Mayo », les « Grands-mères de la place de Mai ». Elles se battent depuis 1977 pour retrouver les traces des enfants enlevés pendant la dictature militaire (1976-1983) et adoptés illégalement par des familles proches du régime. 

Leurs parents, jeunes militants de gauche, font partie des quelque 30 000 personnes que la junte a fait disparaître. Dans les centres de torture, les femmes enceintes avaient droit à une salle ...

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