« J'ai rendez-vous avec la nuit », écrit Paulina Vinderman. Ou encore : « Il n'y a pas de frontières au pays de la mémoire. » Et plus loin : « Je voyagerai sur la page de la nuit sans mentir. » Autant de « coups d'archet » qui captent l'attention à la première lecture et insistent ensuite dans notre mémoire. Jacques Ancet, poète et traducteur qui a fait connaître en France tant de voix importantes de la poésie hispanophone, a eu une nouvelle fois la main heureuse. Barque noire, dont l'original date de 2010, est le premier livre intégralement traduit chez nous de cette Argentine, [...]