Et sa coupure de deux mois entre novembre et janvier lui a permis de réaliser un travail foncier qui paraît porter ses fruits au Brésil: avec 4 buts en trois matchs, il est co-meilleur buteur du Mondial ex-aequo avec le Brésilien Neymar, son coéquipier au Barça. Evidemment, il n'est jamais bon de dépendre d'un unique joueur, au risque de s'exposer aux méformes ou au marquage adverse. Mais dans le cas de l'Argentine, c'est peut-être un mal pour un bien: Messi fait jouer ses équipiers, ouvre des espaces en agglutinant les défenseurs et, surtout, donne confiance à une équipe plutôt fébrile depuis le début du Mondial, en particulier en défense.