1. C’est quoi l’enjeu? L’Argentine, qui n’a plus atteint les demi-finales d’un Mondial depuis 1990, rêve évidemment de remettre ça et même de faire mieux. L’Albiceleste a terminé première des éliminatoires AmSud et, même sans Tevez, dispose d’un effectif à la hauteur de ses ambitions.
2. La star à suivre Lionel Messi – qui d’autre? – va «très bien» et sa présence «renforce le reste de l’équipe» affirme le milieu Augusto Fernandez. Tout est dit: Messi c’est bien sûr le pouls de l’équipe argentine. La «Pulga» (la puce), qui sort d’une saison difficile avec le FC Barcelone, endosse au Brésil le costume de leader au sein de l’Albiceleste avec une implication et une efficacité qui lui faisaient défaut ces dernières années. «Nous savions déjà ce qu’il représente comme joueur. Le voir avec autant d’envie renforce le reste» (sous entendu de l’équipe), détaille ainsi Fernandez, 28 ans, qui sera sur le banc de touche dimanche. «Pour nous c’est une référence. C’est le capitaine de la sélection et nous allons tous l’aider», a dit de son côté le défenseur Ezequiel Garay. «Ce que nous devons faire, c’est l’aider pour qu’il soit à l’aise et heureux», ajoute le milieu… anderlechtois, Lucas Biglia.
3. L’histoire Sous les yeux de 6 500 spectateurs, Messie lui-même s’est fait piéger par un sosie du brésilien de Ronaldinho, monté sur le terrain le saluer à la fin de l’entraînement des Argentins à Belo Horizonte. Ce qui fait marrer tout le monde… sauf la sécurité.