L’Arménie s’invite à accélérer le règlement du conflit du Haut …

Bakou, 27 décembre, AzerTAc 

Le journal en ligne d’Argentine «Infobae» a publié l’article de Mammad Ahmadzade, ambassadeur d’Azerbaïdjan dans ce pays.
Dans l’article, l’ambassadeur indique que l’article partial d’un auteur d’origine arménienne, publié récemment dans le même journal, était un bon exemple de la désinformation du côté arménien relative au conflit du Haut-Karabagh et à l’Azerbaïdjan pour dissimuler l’agression militaire de l’Arménie contre l’Azerbaïdjan.
Le Haut-Karabagh est une terre historique de l’Azerbaïdjan et ce territoire est reconnu au niveau international comme la partie intégrante de l’Azerbaïdjan. La soi-disant «République du Haut-Karabagh» est un régime inventé par les Arméniens, écrit l’ambassadeur.
«Après l’effondrement de l’URSS, les forces armées arméniennes ont occupé le Haut-Karabagh et sept régions adjacentes, ceux qui comprennent 20% de la superficie totale de l’Azerbaïdjan. Des Azerbaïdjanais ont été expulsés de leur terre natale et des massacres, y compris le génocide de Khodjaly ont été commis contre la population azerbaïdjanaise» explique-t-il.
«Les organisations internationales reconnaissent le Haut-Karabagh comme une partie intégrante de l’Azerbaïdjan et revendiquent le retrait des forces militaires arméniennes du territoire occupé de l’Azerbaïdjan et le retour des réfugiés et des personnes déplacées à leurs foyers ancestraux. Cette position de la communauté internationale est rejetée par Erevan. La violation de l’espace aérienne de l’Azerbaïdjan par les hélicoptères militaires de l’Arménie, le 12 novembre dernier, est une parfaite illustration de la poursuite de l’agression de ce pays envers son voisin. L’indice de militarisation mondiale a montré que l’Arménie, qui a occupé les territoires de l’Azerbaïdjan, est le troisième pays le plus militarisé au monde. Selon l'article 51 de la Charte de Nations Unies, Bakou se réserve le droit de rétablir son intégrité territoriale et renforce le secteur de la défense» explique Mammad Ahmadzade.
La solution des problèmes les plus graves de l’Arménie ne dépend que de la coopération avec l’Azerbaïdjan. L’Arménie doit accélérer le règlement de ce conflit qui est la majeure menace à la paix et à la stabilité régionale. De ce point de vue, le retrait des troupes arméniennes des territoires occupés et le retour des personnes déplacées azerbaïdjanaises à leur terre natale sont imminents, estime l’ambassadeur.

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