Le président Macri a indiqué qu'il était temps de "replacer l'Argentine sur la scène mondiale" et de "remettre le pays en marche".
Le ministre argentin des sports Gustavo Santos vient de faire de nouvelles déclarations en ce sens. La position du Royaume-Uni est claire: " Le Premier ministre a clarifié notre position qui reste la même: au cours du dernier référendum, il s'est avéré que les habitants des îles souhaitent rester britanniques.
"L'objectif est de renforcer le pays".
La rencontre entre Macri et le vice-président américain, Jo Biden, a également été d'une grande importance.
M.Macri a également fait part de son souhait d'établir des relations "mûres et réalistes" avec les Etats-Unis et les deux parties ont également souligné la nécessité de "créer un climat de bon dialogue au niveau de toute la région", de préserver les "valeurs de la paix" et de contribuer au développement durable de la région. Il sait que pour redynamiser son économie, il doit obtenir la confiance des détenteurs étrangers de capitaux.
C'est vrai que l'arrivée du président Macri ouvre de nouveaux horizons pour les investisseurs, parce qu'on a passé plusieurs années avec une politique économique (en Argentine) relativement peu favorable, très instable, a commenté M. Pouyanné. "Sécuriser ces deux évènements ne sera pas une chose aisée, j'en suis tout à fait conscient, mais nous voulons les organiser".
Pour cette raison, les observateurs estiment que Buenos Aires a trouvé réponse à ses attentes lors du Sommet de Davos, ce qui signifie que les prochains jours les multinationales penseront à se tourner vers l'Argentine qui a mis en place tous les ingrédients pour le succès en adoptant la logique des intérêts économiques et de l'ouverture sur le monde et en mettant de côté les différences idéologiques et politiques.