Vendredi 13 septembre 2013 - 11:20
Ce week-end se déroulera la quatrième journée du Four-Nations 2013 et elle apparait déjà comme capitale pour certaines équipes. Ainsi l'Australie, qui affrontera l'Argentine dans un match qui s'annonce tendu, tentera de trouver le chemin du succès pour la première fois dans la compétition cette année.
Folau - O'Connor, Ashley-Cooper, Lealiifano, Cummins - (o) Cooper, (m) White-
Hooper, Mowen (cap.), Fardy - Douglas, Simmons - Alexander, Moore, Slipper
Remplaçants: S. Fainga'a, Sio, Kepu, Timani, McCalman, Genia, Toomua,Kuridrani
Alors qu’aura lieu samedi le match de tous les chocs entre les deux meilleures nations du monde, l’Afrique du Sud et la Nouvelle-Zélande, qui se disputent les deux premières places du Four-Nations, une autre rencontre apparaît comme capitale. L’Australie affrontera l’Argentine et tentera d’obtenir une première victoire dans cette édition 2013. Alors que l’Australie a déjà été battue trois fois dans ce Four-Nations et qu’elle se retrouve dernière derrière l’Argentine au classement, la pression s’accroît sur l’équipe d’Ewen McKenzie. Une nouvelle défaite et ce serait l’humiliation totale pour l’équipe et même le pays tout entier. Afin d’arracher cette victoire, le sélectionneur, qui a succédé à Robbie Deans en juillet dernier, a décidé d’effectuer quelques changements dans son équipe à commencer par le capitanat qu’il a confié au 3e ligne centre Ben Mowen, devenant ainsi le 80e Australien de l’histoire à porter le brassard.
Le demi de mêlée Will Genia, habituel capitaine de l’équipe, a fait les frais des trois dernières défaites des Wallabies et se retrouve donc remplacé par le jeune demi de mêlée de 23 ans, Nic White, qui connaîtra ainsi sa première titularisation face aux Pumas. Les Australiens essaieront de se rappeler aux bons souvenirs de leur victoire en 2011, dans l’ancien Tri-Nations avant l’arrivée de l’Argentine, où elle avait décroché la première place du tournoi. Un petit exploit dans une compétition écrasée par la Nouvelle-Zélande depuis tellement d’années.
Laure-Anne Vivet