Dario Cvitanich: "Le stade du Ray? Un coin d’Argentine" – Nice

Bienvenue chez "Super Dario". L'attaquant argentin de l'OGC Nice, déjà 12 buts cette saison, nous a ouvert les portes de son appartement. Voyage en ballon.

Dario, lorsque vous vous êtes engagé cet été avec le Gym, vous pensiez connaître une telle première partie de saison...

Honnêtement, non... Mais on travaille pour jouer de la sorte et avoir de bons résultats. Je sais qu'on a une bonne équipe, un très gros potentiel avec de jeunes joueurs. Je pense qu'à ce stade de la saison, cela aurait été difficile d'espérer mieux.

Douze buts en seize matchs, ce sont des statistiques incroyables, non ?

C'est bien. Par le passé, j'ai joué davantage comme un deuxième attaquant mais je suis toujours parvenu à marquer beaucoup de buts. Là, c'est moi le numéro neuf. Je dois encore progresser, mais j'aime vraiment avoir cette responsabilité. Et à Nice, je peux compter sur de bons joueurs pour donner de bons ballons.

Quel est l'impact de Claude Puel sur votre réussite ?

Quand je suis arrivé, il m'a beaucoup aidé. Il m'a fait travailler mes déplacements. Il était toujours derrière moi. On travaille beaucoup tactiquement et techniquement à l'entraînement et ça se répercute lors des matchs. Le coach a choisi les joueurs en fonction de son idéologie de jeu. Il n'a pas hésité à prendre beaucoup de jeunes ou des garçons qui n'avaient pas forcément beaucoup de temps de jeu. Mais dès le départ, je pense qu'il avait une idée très précise de ce qu'il souhaitait mettre en place. Au final, comme avec Valentin (Eysseric) par exemple, ce sont des paris gagnants.

Avec cette 5e place en L1, Nice a-t-il atteint son sommet ?

Non. Je pense qu'on a un grand potentiel. On a une équipe très jeune. Depuis le début de saison, on a laissé filer pas mal de points en fin de rencontre.

Parlez-nous du Ray, dont vous êtes déjà la coqueluche...

(Direct). L'ambiance y est incroyable. Quand tu ressens une telle ferveur, tu ne peux être que motivé. Quand j'entre sur le terrain et que je vois les supporters, je me dis que pour eux, on ne peut pas perdre. J'ai été surpris par ce fanatisme. Lorsqu'on m'en avait parlé, j'avais dit : "Ok, on verra." A l'arrivée, le Ray, c'est un petit coin d'Argentine.

 


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