Le Dakar est une super-production annuelle, avec une particularité : le scénario n’est jamais écrit à l’avance. Un mot le caractérise : extrême. La fatigue y est extrême, la concentration aussi : il faut faire attention à tout, être très fort en mécanique, en navigation. Nous travaillons de cinq heures du matin jusqu’à plus de minuit, dans des conditions difficiles : tempête de sable, pluie, etc. L’année dernière, nous avons subi une canicule avec 49° C, il y a deux ans la neige dans la cordillère des Andes, mais aussi une tornade et des pluies torrentielles avec des inondations qui nous ont conduits à tout déménager au dernier moment, dans la boue. Il faut continuellement courir à droite et à gauche, être toujours en alerte. Éprouvant, mais fascinant à vivre !
Sur le plan de la couverture de l’événement, nous allons pour la première fois utiliser des drones. Cela va être très spectaculaire.
